Allez pour Noël, une
dernière perle trouvée encore dans l'Orient-La-Nuit, c'est cadeau :
"Le sobriquet de
"père de tous" qui sonne étrangement comme celui de l'autre
"petit père des peuples" aurait pu suffire à révéler la vocation
dictatoriale du nouveau mandat". Il est vrai que comparaison n'est pas
raison mais dans ce cas précis il s'agit bien de déraison et de démesure. La
journaliste en question devrait revoir sa bio de Staline ou le bilan du
président Aoun.
Un
article dont le contenu sonne étrangement comme celui de la "Pravda"
au temps du "petit père des peuples" voir, plus près de nous, comme
le Gorafi. En tout cas la journaliste a toutes les qualifications et la rigueur
pour écrire dans "Voici" ou "Nous deux".
Ce
qui est certain c'est que le droit de dire n'importe quoi, n'importe quand est
inhérent à la liberté d'expression et que dans ce domaine force est de
constater que celle-ci se porte comme un charme.
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