Depuis que Trump est
président c’est à se demander si après tout la terre n’est pas vraiment plate.
Même l’évolutionnisme semble prêter à confusion tant il est difficile
d’imaginer que Trump puisse être le produit de la moindre évolution, toutes
espèces confondues.
En parrallèle à sa
guerre contre Daesh et le “terrorisme”, Trump poursuit une guerre sans merci
contre la science, la culture, l’histoire et la raison. Pour le locataire de la
Maison Blanche le réchauffement climatique est loin d’être une certitude. Non
seulement il n’y crois pas mais il s’évertue à mettre des batons dans les roues
aux chercheurs américians dans ce qui s’apparente à une chasse aux sorcières.
Le 7 décembre 2016,
avant même son entrée en fonction il nommait Scott Pruitt, directeur de l'EPA,
l'Agence de protection de l'environnement américain, un climato-sceptique qui
considère qu’il n’y a aucun lien entre le réchauffement climatique et les
énergies fossiles. Il s’agirait selon lui d’un “canular entretenu par la Chine
pour affaiblir l’économie américaine”. En un an, 700 personnes dont 220 scientifiques
ont quitté l'EPA. L’année suivante il se retirait de l’accord de Paris sur le
climat, une de ses promesses électorales.
A l’autonome 2017 il a
même relancé l'exploration pétrolière et gazière dans le golfe du Mexique et en
Alaska et, à la mi-décembre, il a retiré le changement climatique de la liste des
plus grands périls qui menacent la sécurité nationale des Etats-Unis. Les
ouragans Irma et Harvey, connait pas ! ni les incendies qui ont ravagé la
Californie.
De plus, il a signé
plusieurs décrets pour démanteler les réglementations de protection
environnementale mises en place par Barack Obama dont le Clean Power Plan qui
imposait aux centrales électriques de réduire leurs émissions de CO2.
Pour
courronner le tout, en Octobre 2017 il a annoncé le retrait des Etats-Unis de
l’UNESCO, immédiatement suivi par Israël.
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